Débattre, régénérer, proposer
Les Rencontres de Saint Raphaël, l'évènement de la Revue Politique et Parlementaire
La Revue Politique et Parlementaire, en partenariat avec la Mairie de Saint-Raphaël et Deloitte, organise le 8 et le 9 octobre 2021 ses premières Rencontres autour de la thématique : « Faut-il avoir peur de l’avenir ? ».
Cinq tables-rondes exploreront le sujet et confronteront le point de vue d’intellectuels, de politiques, d’acteurs économiques et associatifs.
Ce rendez-vous, qui a vocation à s’inscrire dans la durée, se fixe pour objectif de créer un espace d’échanges qui, dans une époque contrainte par l’immédiateté, puisse retrouver le temps long et approfondi du débat dans l’argumentation et la réflexion. Cette tâche est complexe, mais elle correspond à la vocation de la Revue Politique et Parlementaire, héritière d’une histoire républicaine de plus de 120 ans et dont les fondateurs avaient imaginé le rôle comme celui d’un lieu d’analyse au service de l’action et de la défense de la démocratie.
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Le programme Best Managed Companies de Deloitte sera inauguré au cours d’un cocktail dinatoire.
Par ordre alphabétique
Avocat à la Cour d’appel de Paris, il est associé au sein du cabinet Gibson, Dunn & Crutcher LLP.
Editorialiste et essayiste, Nicolas Baverez est l’auteur de nombreux ouvrages dont les plus récents sont : Après le déluge : essai sur la grande crise de la mondialisation (Perrin, 2009), Réveillez-vous ! (Fayard, 2012), Lettres béninoises (Albin Michel, 2014), Danser sur un volcan (Albin Michel, 2016), Chronique du déni (Albin Michel, 2017), Violence et passions. Défendre la liberté à l’âge de l’histoire universelle (éditions de l’Observatoire, 2018), Le monde selon Tocqueville (éditions Tallandier, 2020) et L’alerte démocratique (éditions de l’Observatoire, 2020).
Avocat à la Cour d’appel de Paris, il est associé au sein du cabinet Gibson, Dunn & Crutcher LLP.
Editorialiste et essayiste, Nicolas Baverez est l’auteur de nombreux ouvrages dont les plus récents sont : Après le déluge : essai sur la grande crise de la mondialisation (Perrin, 2009), Réveillez-vous ! (Fayard, 2012), Lettres béninoises (Albin Michel, 2014), Danser sur un volcan (Albin Michel, 2016), Chronique du déni (Albin Michel, 2017), Violence et passions. Défendre la liberté à l’âge de l’histoire universelle (éditions de l’Observatoire, 2018), Le monde selon Tocqueville (éditions Tallandier, 2020) et L’alerte démocratique (éditions de l’Observatoire, 2020).
Il a été directeur de la communication de l’Inserm après avoir dirigé celle du CNES et du CNRS.
Aujourd’hui professeur associé à l’Université Paris-Sorbonne, il est également rédacteur en chef de la Revue Politique et Parlementaire.
Arnaud Benedetti intervient régulièrement dans les médias et est l’auteur de plusieurs ouvrages : Un préfet dans la Résistance (CNRS Editions, 2013), J’ai servi Pétain. Entretiens avec Paul Racine (Le Cherche Midi, 2014), L’ordre républicain dans les circonstances exceptionnelles avec Charles-Louis Foulon (Economica, 2015), Communiquer c’est vivre. Entretiens avec Dominique Wolton (Le Cherche Midi, 2016), La fin de la com’ (Le Cerf, 2017) Le coup de com’ permanent (Le Cerf, 2018), Le progrès est-il dangereux ? avec Catherine Bréchignac (HumenSciences, 2019).
Il a été directeur de la communication de l’Inserm après avoir dirigé celle du CNES et du CNRS.
Aujourd’hui professeur associé à l’Université Paris-Sorbonne, il est également rédacteur en chef de la Revue Politique et Parlementaire.
Arnaud Benedetti intervient régulièrement dans les médias et est l’auteur de plusieurs ouvrages : Un préfet dans la Résistance (CNRS Editions, 2013), J’ai servi Pétain. Entretiens avec Paul Racine (Le Cherche Midi, 2014), L’ordre républicain dans les circonstances exceptionnelles avec Charles-Louis Foulon (Economica, 2015), Communiquer c’est vivre. Entretiens avec Dominique Wolton (Le Cherche Midi, 2016), La fin de la com’ (Le Cerf, 2017) Le coup de com’ permanent (Le Cerf, 2018), Le progrès est-il dangereux ? avec Catherine Bréchignac (HumenSciences, 2019).
Mathieu Bock-Côté est sociologue (Ph.D) et chroniqueur dans la presse québécoise et française.
Il est l’auteur notamment de Le multiculturalisme comme religion politique (éditions du Cerf, 2016), Le nouveau régime : essai sur les enjeux démocratiques actuels (Boréal, 2017), L’Empire du politiquement correct : essai sur la respectabilité politico-médiatique (éditions du Cerf, 2019). Il vient de publier La révolution racialiste (Presses de la Cité, 2021).
Mathieu Bock-Côté est sociologue (Ph.D) et chroniqueur dans la presse québécoise et française.
Il est l’auteur notamment de Le multiculturalisme comme religion politique (éditions du Cerf, 2016), Le nouveau régime : essai sur les enjeux démocratiques actuels (Boréal, 2017), L’Empire du politiquement correct : essai sur la respectabilité politico-médiatique (éditions du Cerf, 2019). Il vient de publier La révolution racialiste (Presses de la Cité, 2021).
Présidente du CNRS de 2006 à 2010 et du Haut Conseil des biotechnologies de 2009 à 2010, elle est membre élue à l’Académie des sciences depuis novembre 2005 et secrétaire perpétuelle de l’Académie de 2011 à 2008.
Elle a écrit plusieurs ouvrages, notamment sur la démarche scientifique afin d’expliciter comment se construit la science et se développe la pensée scientifique au fil des ans.
Présidente du CNRS de 2006 à 2010 et du Haut Conseil des biotechnologies de 2009 à 2010, elle est membre élue à l’Académie des sciences depuis novembre 2005 et secrétaire perpétuelle de l’Académie de 2011 à 2008.
Elle a écrit plusieurs ouvrages, notamment sur la démarche scientifique afin d’expliciter comment se construit la science et se développe la pensée scientifique au fil des ans.
Jean-François Colosimo est notamment l’auteur de Aveuglements : religions, guerres, civilisation (éditions du Cerf, 2018), Prix 2018 des écrivains du sud, catégories Essais ; La religion française (éditions du Cerf, 2019) ; Le Sabre et le Turban. Jusqu’où ira la Turquie ? (éditions du Cerf, 2020) et de République ou barbarie (avec Régis Debray et Didier Leschi, Le Cerf, 2021).
Jean-François Colosimo est notamment l’auteur de Aveuglements : religions, guerres, civilisation (éditions du Cerf, 2018), Prix 2018 des écrivains du sud, catégories Essais ; La religion française (éditions du Cerf, 2019) ; Le Sabre et le Turban. Jusqu’où ira la Turquie ? (éditions du Cerf, 2020) et de République ou barbarie (avec Régis Debray et Didier Leschi, Le Cerf, 2021).
Maître de Conférences à l’université de Créteil en 1988, elle devient professeur à l’université de Marne-le-Vallée en 1992.
Elle fonde en 1993 dans le cadre universitaire l’Institut de recherche Hannah Arendt, dont la vocation est notamment d’explorer les rencontres entre les pensées occidentale, centrale et orientale de l’Europe. Elle crée en même temps des cursus de Masters et d’écoles doctorales délocalisés dans plusieurs pays d’Europe centrale et orientale.
Elle est Docteur Honoris Causa de l’Université Babes-Bolyai de Cluj-Napoca (Roumanie), depuis 2004, et Professeur honoraire de l’Université Ricardo Palma (Lima, Pérou), depuis 2008.
Entre 1994 et 2005, Chantal Delsol dirige aux Editions de la Table Ronde la collection Contretemps, puis à compter de 2008 la section de Philosophie morale et politique de la collection La Nuit Surveillée aux Editions du Cerf.
Editorialiste régulière depuis 1995 au Figaro, elle intervient également dans des colloques, conférences, cours dispensés comme professeur invitée en France et à l’étranger.
En 2008, elle est élue à l’Académie des sciences morales et politiques, en section Philosophie au fauteuil de Roger Arnaldez.
Elle est l’auteur de nombreux ouvrages de philosophie, d’essais et de romans, traduits dans plus de vingt langues, les plus récents étant La détresse du petit Pierre qui ne sait pas lire (Plon, 2010), Manuel de Morale à l’usage du Primaire (Editions des Ecoles, 2012), Les pierres d’angle (Le Cerf, 2014), Populisme, les demeurés de l’histoire (Editions du Rocher, 2015), Le nouvel âge des pères, avec Martin Steffens (Le Cerf, 2015), La haine du monde, totalitarisme et post-modernité (Le Cerf, 2016), Un personnage d’aventure, petite philosophie de l’enfance (Le Cerf, 2017) et Le crépuscule de l’universel (Le Cerf, 2020).
Maître de Conférences à l’université de Créteil en 1988, elle devient professeur à l’université de Marne-le-Vallée en 1992.
Elle fonde en 1993 dans le cadre universitaire l’Institut de recherche Hannah Arendt, dont la vocation est notamment d’explorer les rencontres entre les pensées occidentale, centrale et orientale de l’Europe. Elle crée en même temps des cursus de Masters et d’écoles doctorales délocalisés dans plusieurs pays d’Europe centrale et orientale.
Elle est Docteur Honoris Causa de l’Université Babes-Bolyai de Cluj-Napoca (Roumanie), depuis 2004, et Professeur honoraire de l’Université Ricardo Palma (Lima, Pérou), depuis 2008.
Entre 1994 et 2005, Chantal Delsol dirige aux Editions de la Table Ronde la collection Contretemps, puis à compter de 2008 la section de Philosophie morale et politique de la collection La Nuit Surveillée aux Editions du Cerf.
Editorialiste régulière depuis 1995 au Figaro, elle intervient également dans des colloques, conférences, cours dispensés comme professeur invitée en France et à l’étranger.
En 2008, elle est élue à l’Académie des sciences morales et politiques, en section Philosophie au fauteuil de Roger Arnaldez.
Elle est l’auteur de nombreux ouvrages de philosophie, d’essais et de romans, traduits dans plus de vingt langues, les plus récents étant La détresse du petit Pierre qui ne sait pas lire (Plon, 2010), Manuel de Morale à l’usage du Primaire (Editions des Ecoles, 2012), Les pierres d’angle (Le Cerf, 2014), Populisme, les demeurés de l’histoire (Editions du Rocher, 2015), Le nouvel âge des pères, avec Martin Steffens (Le Cerf, 2015), La haine du monde, totalitarisme et post-modernité (Le Cerf, 2016), Un personnage d’aventure, petite philosophie de l’enfance (Le Cerf, 2017) et Le crépuscule de l’universel (Le Cerf, 2020).
Il est l’auteur de Recomposition, le nouveau monde populiste paru aux éditions du Cerf.
Il est l’auteur de Recomposition, le nouveau monde populiste paru aux éditions du Cerf.
Fort d’une expérience de plus de 20 ans dans la coordination internationale et la gestion globale de mission d’audit sur des clients majeurs dans le secteur de l’hôtellerie et du tourisme, du luxe, de la distribution et, plus globalement, du secteur des produits de grande consommation AccorHotels, Hermès, L’Oréal, Pernod-Ricard, Kering… Il a participé à de nombreux audits d’acquisition ou opération de marché majeures et jouit d’une forte exposition internationale acquise dans le cadre de la gestion quotidienne de grands groupes, mais également suite a sa période d’expatriation.
Il est actuellement Managing Partner des activités Audit & Assurance, membre du Comité Exécutif de Deloitte France et responsable de l’activité Audit au niveau de Deloitte Europe continentale et est également Directeur Adjoint pour la France depuis le 1er juin 2021.
Fort d’une expérience de plus de 20 ans dans la coordination internationale et la gestion globale de mission d’audit sur des clients majeurs dans le secteur de l’hôtellerie et du tourisme, du luxe, de la distribution et, plus globalement, du secteur des produits de grande consommation AccorHotels, Hermès, L’Oréal, Pernod-Ricard, Kering… Il a participé à de nombreux audits d’acquisition ou opération de marché majeures et jouit d’une forte exposition internationale acquise dans le cadre de la gestion quotidienne de grands groupes, mais également suite a sa période d’expatriation.
Il est actuellement Managing Partner des activités Audit & Assurance, membre du Comité Exécutif de Deloitte France et responsable de l’activité Audit au niveau de Deloitte Europe continentale et est également Directeur Adjoint pour la France depuis le 1er juin 2021.
De retour à Moscou, il travaille au ministère des Affaires étrangères comme chef de cabinet du vice-ministre Vladimir Petrovski. Il sera ensuite nommé conseiller diplomatique pendant la période de la Glanost pour laquelle il assure, de 1985 à 1990, la promotion de la Perestroïka en France avec comme objectif de faire naître une nouvelle Russie, ouverte aux échanges et à la technologie et arrimée à l’Europe. Lassé par l’incohérence de Gorbatchev, Vladimir Fédorovski quitta la diplomatie en 1990.
Auteur de nombreux ouvrages à succès traduits dans vingt-huit pays, il a également dirigé la collection « Le Romain des lieux magiques » et est président d’honneur de la Fédération française des Salons du livre.
Vladimir Fédorovski est régulièrement consulté par les médias français pour ses connaissances en politique et histoire russes.
De retour à Moscou, il travaille au ministère des Affaires étrangères comme chef de cabinet du vice-ministre Vladimir Petrovski. Il sera ensuite nommé conseiller diplomatique pendant la période de la Glanost pour laquelle il assure, de 1985 à 1990, la promotion de la Perestroïka en France avec comme objectif de faire naître une nouvelle Russie, ouverte aux échanges et à la technologie et arrimée à l’Europe. Lassé par l’incohérence de Gorbatchev, Vladimir Fédorovski quitta la diplomatie en 1990.
Auteur de nombreux ouvrages à succès traduits dans vingt-huit pays, il a également dirigé la collection « Le Romain des lieux magiques » et est président d’honneur de la Fédération française des Salons du livre.
Vladimir Fédorovski est régulièrement consulté par les médias français pour ses connaissances en politique et histoire russes.
Il est président du Comité d’histoire parlementaire et politique, Vice-président de la Commission Internationale d’histoire des assemblées d’Etat, membre du Board d’EuParl.Net.
Il est directeur de la publication de la revue Parlement(s). Revue d’histoire politique (PUR) et conseiller éditorial chez Armand Colin.
Il est membre du jury du prix d’histoire du Sénat, des prix de thèse et des concours d’administrateurs de l’Assemblée Nationale et du Sénat.
Il siège au conseil scientifique des Rendez-Vous de l’Histoire, des Amis de Georges Clemenceau et de l’Institut Pierre Mendès France.
Il a été invité à donner des conférences à Stanford, Oxford, Cambridge, Londres, Edimbourg, Berlin, Munich, Rome, Pise, Alghero, Barcelone, Lisbonne, Cadix, Prague, Pardubice, Amsterdam, Luxembourg, Andorre…
Jean Garrigues intervient régulièrement dans de nombreux médias.
Il est président du Comité d’histoire parlementaire et politique, Vice-président de la Commission Internationale d’histoire des assemblées d’Etat, membre du Board d’EuParl.Net.
Il est directeur de la publication de la revue Parlement(s). Revue d’histoire politique (PUR) et conseiller éditorial chez Armand Colin.
Il est membre du jury du prix d’histoire du Sénat, des prix de thèse et des concours d’administrateurs de l’Assemblée Nationale et du Sénat.
Il siège au conseil scientifique des Rendez-Vous de l’Histoire, des Amis de Georges Clemenceau et de l’Institut Pierre Mendès France.
Il a été invité à donner des conférences à Stanford, Oxford, Cambridge, Londres, Edimbourg, Berlin, Munich, Rome, Pise, Alghero, Barcelone, Lisbonne, Cadix, Prague, Pardubice, Amsterdam, Luxembourg, Andorre…
Jean Garrigues intervient régulièrement dans de nombreux médias.
Elle commence sa carrière chez Lehman Brothers en 1999 dans plusieurs départements à New York, Londres et Paris avant de rejoindre Rothschild à Paris en 2009. Nommée associée-gérante en 2014, elle créé et développe l’activité de conseil souverain de Rothschild avant d’en être nommée responsable mondiale. A ce titre, elle conseille plusieurs pays du G20 dont l’Argentine, la Grèce, l’Ukraine, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Bénin, etc.
Anne-Laure Kiechel quitte Rothschild fin 2018 pour créer Global Sovereign Advisory (GSA), une société indépendante spécialisée dans le conseil aux Etats et aux entreprises publiques sur les questions de politiques publiques et financières. GSA est active dans des domaines tels que le cadrage macro-fiscal, les politiques économiques, la gestion des actifs-passifs et le périmètre du secteur public, la stratégie de financement, la stratégie économique, la conception, mise en œuvre et évaluation des réformes ainsi que l’évaluation et l’atténuation des risques. GSA conseille actuellement une vingtaine de pays à travers le monde.
En novembre 2019, GSA lance une Chaire sur la dette souveraine avec Sciences Po hébergée au sein de l’Ecole des affaires internationales de Sciences Po (PSIA).
En 2015, Anne-Laure Kiechel co-fonde Youthonomics, un indice qui classe les pays en fonction des opportunités offertes aux jeunes.
Elle préside, depuis 2020, le comité stratégique de la Fondation Sorbonne Université.
Elle commence sa carrière chez Lehman Brothers en 1999 dans plusieurs départements à New York, Londres et Paris avant de rejoindre Rothschild à Paris en 2009. Nommée associée-gérante en 2014, elle créé et développe l’activité de conseil souverain de Rothschild avant d’en être nommée responsable mondiale. A ce titre, elle conseille plusieurs pays du G20 dont l’Argentine, la Grèce, l’Ukraine, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Bénin, etc.
Anne-Laure Kiechel quitte Rothschild fin 2018 pour créer Global Sovereign Advisory (GSA), une société indépendante spécialisée dans le conseil aux Etats et aux entreprises publiques sur les questions de politiques publiques et financières. GSA est active dans des domaines tels que le cadrage macro-fiscal, les politiques économiques, la gestion des actifs-passifs et le périmètre du secteur public, la stratégie de financement, la stratégie économique, la conception, mise en œuvre et évaluation des réformes ainsi que l’évaluation et l’atténuation des risques. GSA conseille actuellement une vingtaine de pays à travers le monde.
En novembre 2019, GSA lance une Chaire sur la dette souveraine avec Sciences Po hébergée au sein de l’Ecole des affaires internationales de Sciences Po (PSIA).
En 2015, Anne-Laure Kiechel co-fonde Youthonomics, un indice qui classe les pays en fonction des opportunités offertes aux jeunes.
Elle préside, depuis 2020, le comité stratégique de la Fondation Sorbonne Université.
Il est conseiller parlementaire au cabinet de Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur, de 1997 à 1999. Chef de cabinet du préfet de la région Île-de-France entre 1999 et 2002, il est chargé de mission pour la politique de la ville auprès du préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône d’avril 2002 à juin 2004.
De juillet 2004 à mai 2008, il occupe les fonctions de chef du bureau central des cultes au ministère de l’Intérieur.
En juin 2008, il est nommé chef du service de l’accès au droit et à la justice et de la politique de la ville à l’administration centrale du ministère de la Justice. Il est, de 2013 à 2015, préfet délégué pour l’égalité des chances auprès du préfet de la Seine-Saint-Denis.
Didier Leschi est l’auteur notamment de Misère(s) de l’islam de France (éditions du Cerf, 2017) ; Rien que notre défaite (éditions du Cerf, 2018) ; De la République des défunts (Tract de crise, Gallimard, avril 2020) et de Ce grand dérangement, l’immigration en face (Tract Gallimard, n°22, novembre 2020).
Il est conseiller parlementaire au cabinet de Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur, de 1997 à 1999. Chef de cabinet du préfet de la région Île-de-France entre 1999 et 2002, il est chargé de mission pour la politique de la ville auprès du préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône d’avril 2002 à juin 2004.
De juillet 2004 à mai 2008, il occupe les fonctions de chef du bureau central des cultes au ministère de l’Intérieur.
En juin 2008, il est nommé chef du service de l’accès au droit et à la justice et de la politique de la ville à l’administration centrale du ministère de la Justice. Il est, de 2013 à 2015, préfet délégué pour l’égalité des chances auprès du préfet de la Seine-Saint-Denis.
Didier Leschi est l’auteur notamment de Misère(s) de l’islam de France (éditions du Cerf, 2017) ; Rien que notre défaite (éditions du Cerf, 2018) ; De la République des défunts (Tract de crise, Gallimard, avril 2020) et de Ce grand dérangement, l’immigration en face (Tract Gallimard, n°22, novembre 2020).
Il préside également le Comité Régional du Tourisme Côte d’Azur France depuis 2015.
Il est Vice-Président et porte-parole de l’AMF (Association des Maires de France) depuis 2017, et Vice-Président du Comité des Finances Locales.
Passionné d’écriture et pour financer ses études, David Lisnard a travaillé comme rédacteur pour différents journaux durant quatre ans. En 1996, il est recruté comme Directeur de Cabinet et Attaché parlementaire du Député-maire de Lons-le-Saunier, chef-lieu du Jura. En 1999, il rentre à Cannes, travaille à Sophia Antipolis et reprend le commerce familial. Il devient directeur de campagne de Bernard Brochand dans la perspective des élections municipales de 2001. Elu, il est adjoint au Maire en charge du tourisme, du développement économique, des questions de proximité et des cultes. Parallèlement, il est président de la société d’exploitation du Palais des Festivals et des Congrès.
En 2008, à l’occasion des élections municipales, il est élu premier adjoint au Maire et, dans le même temps, Conseiller général de Cannes Est afin de renforcer par son action et ses interventions l’engagement du Département dans la ville de Cannes, véritable vitrine sociale et économique de la région.
En 2014, David Lisnard se présente à la mairie de Cannes avec sa liste « Une nouvelle énergie pour Cannes ». Il est largement élu avec près de 59 % des voix. En 2020, il est réélu maire de Cannes avec un score historique : 88,1 % des voix.
Il préside également le Comité Régional du Tourisme Côte d’Azur France depuis 2015.
Il est Vice-Président et porte-parole de l’AMF (Association des Maires de France) depuis 2017, et Vice-Président du Comité des Finances Locales.
Passionné d’écriture et pour financer ses études, David Lisnard a travaillé comme rédacteur pour différents journaux durant quatre ans. En 1996, il est recruté comme Directeur de Cabinet et Attaché parlementaire du Député-maire de Lons-le-Saunier, chef-lieu du Jura. En 1999, il rentre à Cannes, travaille à Sophia Antipolis et reprend le commerce familial. Il devient directeur de campagne de Bernard Brochand dans la perspective des élections municipales de 2001. Elu, il est adjoint au Maire en charge du tourisme, du développement économique, des questions de proximité et des cultes. Parallèlement, il est président de la société d’exploitation du Palais des Festivals et des Congrès.
En 2008, à l’occasion des élections municipales, il est élu premier adjoint au Maire et, dans le même temps, Conseiller général de Cannes Est afin de renforcer par son action et ses interventions l’engagement du Département dans la ville de Cannes, véritable vitrine sociale et économique de la région.
En 2014, David Lisnard se présente à la mairie de Cannes avec sa liste « Une nouvelle énergie pour Cannes ». Il est largement élu avec près de 59 % des voix. En 2020, il est réélu maire de Cannes avec un score historique : 88,1 % des voix.
Fondateur de la revue Sociétés et des Cahiers de l’Imaginaire, il est également directeur du Centre de recherche sur l’imaginaire.
En 1972 il est codirecteur de l’équipe de sociologie urbaine (ESU). En 1978, il devient maître assistant à l’Université de Strasbourg. Depuis 1981, il est professeur des universités à l’Université Paris-V – Sorbonne sciences humaines.
En 1982, il fonde le Centre d’études sur l’actuel et le quotidien (CEAQ), laboratoire de recherches sociologiques en Sorbonne, rattaché au Laboratoire d’Ethique Médicale (Université Paris Descartes) qu’il dirige actuellement.
Michel Maffesoli est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Ecosophie (éditions du Cerf, 2017), Etre postmoderne (éditions du Cerf, 2018), La force de l’imaginaire (éditions Liber, 2019), La faillite des élites (éditions du Cerf, 2019) et La nostalgie du sacré (éditions du Cerf, 2020). Au creux des apparences (Plon, 1990) a reçu le Prix de l’Essai André Gautier et La transfiguration du politique (Grasset, 1992) le Grand prix des Sciences humaines de l’Académie française en 1992.
Fondateur de la revue Sociétés et des Cahiers de l’Imaginaire, il est également directeur du Centre de recherche sur l’imaginaire.
En 1972 il est codirecteur de l’équipe de sociologie urbaine (ESU). En 1978, il devient maître assistant à l’Université de Strasbourg. Depuis 1981, il est professeur des universités à l’Université Paris-V – Sorbonne sciences humaines.
En 1982, il fonde le Centre d’études sur l’actuel et le quotidien (CEAQ), laboratoire de recherches sociologiques en Sorbonne, rattaché au Laboratoire d’Ethique Médicale (Université Paris Descartes) qu’il dirige actuellement.
Michel Maffesoli est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Ecosophie (éditions du Cerf, 2017), Etre postmoderne (éditions du Cerf, 2018), La force de l’imaginaire (éditions Liber, 2019), La faillite des élites (éditions du Cerf, 2019) et La nostalgie du sacré (éditions du Cerf, 2020). Au creux des apparences (Plon, 1990) a reçu le Prix de l’Essai André Gautier et La transfiguration du politique (Grasset, 1992) le Grand prix des Sciences humaines de l’Académie française en 1992.
Philippe Manière a été rédacteur en chef du Point et de l’Expansion et directeur de la rédaction de la Lettre de l’Expansion. Il a ensuite dirigé l’Institut Montaigne, l’un des think tanks les plus en vue en France. Il intervient aujourd’hui régulièrement dans différents médias, Marianne, France Culture, LCI, BFM Business, Arte, etc.
Chevalier de la Légion d’Honneur, Philippe Manière a siégé huit ans à la Commission économique de la Nation et a été membre de plusieurs commissions gouvernementales sur l’éducation.
Il est l’auteur de sept livres traitant de questions économiques et politiques.
Philippe Manière a été rédacteur en chef du Point et de l’Expansion et directeur de la rédaction de la Lettre de l’Expansion. Il a ensuite dirigé l’Institut Montaigne, l’un des think tanks les plus en vue en France. Il intervient aujourd’hui régulièrement dans différents médias, Marianne, France Culture, LCI, BFM Business, Arte, etc.
Chevalier de la Légion d’Honneur, Philippe Manière a siégé huit ans à la Commission économique de la Nation et a été membre de plusieurs commissions gouvernementales sur l’éducation.
Il est l’auteur de sept livres traitant de questions économiques et politiques.
Son action municipale porte sur des axes majeurs : sécurité, jeunesse et éducation, protection du patrimoine architectural et paysager, cadre de vie, transition écologique, solidarités, attractivité et soutien au commerce local, sport et loisirs, culture, patriotisme… Le premier magistrat a notamment lancé le cycle des « Conférences de 18h59 », temps forts de savoir et de culture de notre territoire, réunissant à chaque rendez-vous près de 700 personnes au Palais des Congrès. De grands noms se voient confier le micro pour une heure de conférence gratuite, suivi d’un débat avec le public : Dominique Schnapper, Erik Orsenna, la famille Klarsfeld, Boris Cyrulnik, Pascal Perrineau…
Frédéric Masquelier a participé au Beauvau de la Sécurité clôturé le 14 septembre 2021 par le Président de la République. Il a, en effet, été désigné en janvier dernier par l’Association des Maires de France (AMF), présidée par François Baroin, pour prendre part, avec trois autres élus locaux à la grande concertation nationale pilotée par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et consacrée aux forces de sécurité intérieure.
Son action municipale porte sur des axes majeurs : sécurité, jeunesse et éducation, protection du patrimoine architectural et paysager, cadre de vie, transition écologique, solidarités, attractivité et soutien au commerce local, sport et loisirs, culture, patriotisme… Le premier magistrat a notamment lancé le cycle des « Conférences de 18h59 », temps forts de savoir et de culture de notre territoire, réunissant à chaque rendez-vous près de 700 personnes au Palais des Congrès. De grands noms se voient confier le micro pour une heure de conférence gratuite, suivi d’un débat avec le public : Dominique Schnapper, Erik Orsenna, la famille Klarsfeld, Boris Cyrulnik, Pascal Perrineau…
Frédéric Masquelier a participé au Beauvau de la Sécurité clôturé le 14 septembre 2021 par le Président de la République. Il a, en effet, été désigné en janvier dernier par l’Association des Maires de France (AMF), présidée par François Baroin, pour prendre part, avec trois autres élus locaux à la grande concertation nationale pilotée par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et consacrée aux forces de sécurité intérieure.
Diplômé d’HEC et avocat, il a dirigé Taj, l’un des plus grands cabinets d’avocats en France, de 2004 à 2016 et a été membre de l’équipe de direction mondiale de Deloitte durant 5 ans.
Très engagé sur les sujets de leadership inclusif, il a reçu en 2013 le prix Women Empowerment Principles de l’ONU récompensant son exemplarité en matière de parité homme femme dans le milieu professionnel.
Il a longtemps enseigné à HEC et à l’Institut catholique de Paris.
Il est administrateur de Fedora, fédération européenne des maisons d’Opéras et de Ballets, ainsi que Président des Amis de la Tapisserie d’Aubusson.
Diplômé d’HEC et avocat, il a dirigé Taj, l’un des plus grands cabinets d’avocats en France, de 2004 à 2016 et a été membre de l’équipe de direction mondiale de Deloitte durant 5 ans.
Très engagé sur les sujets de leadership inclusif, il a reçu en 2013 le prix Women Empowerment Principles de l’ONU récompensant son exemplarité en matière de parité homme femme dans le milieu professionnel.
Il a longtemps enseigné à HEC et à l’Institut catholique de Paris.
Il est administrateur de Fedora, fédération européenne des maisons d’Opéras et de Ballets, ainsi que Président des Amis de la Tapisserie d’Aubusson.
Spécialisée dans l’analyse des tendances et de la stratégie d’opinion, elle a publié deux ouvrages sur les dysfonctionnements de la haute administration : Les inamovibles de la République (L’Aube) et de la démocratie : Le populisme au secours de la démocratie ? (Gallimard).
Elle dirige aujourd’hui Societing, une société de conseil, et est associée aux travaux de la fondation Jean Jaurès.
Spécialisée dans l’analyse des tendances et de la stratégie d’opinion, elle a publié deux ouvrages sur les dysfonctionnements de la haute administration : Les inamovibles de la République (L’Aube) et de la démocratie : Le populisme au secours de la démocratie ? (Gallimard).
Elle dirige aujourd’hui Societing, une société de conseil, et est associée aux travaux de la fondation Jean Jaurès.
Professeure émérite des Universités à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, elle est également chercheure associée au Cevipof. Elle a enseigné la théorie politique à l’Ecole doctorale de Sciences Po Paris et a été directrice de programme au Collège international de philosphie.
De 2006 à 2013, elle a dirigé la collection de philosophie pour enfants « Choiuette ! Penser » aux éditions Gallimard-Jeunesse.
Myriam Revault d’Allonnes est membre de la commission du Livre blanc sur la politique étrangère et européenne de la France (2008) et du Jury de la Conférence de consensus sur la prévention de la récidive (2012).
Elle préside de 2015 à 2018 la commission philosophie-psychanalyse-sciences religieuses du Centre national des Lettres.
Spécialiste de philosophie éthique et politique, ses recherches ont d’abord porté sur la Terreur de la Révolution française, sur le « mal du politique » et le « caractère intraitable » des passions dont est faite l’assise originaire du lien social. Elle s’est interrogée sur la notion de « banalité du mal » et sur la question du « sens de l’humain » entendu comme capacité d’échanger des expériences, capacité dont l’expérience concentrationnaire nous a notamment donné à voir la défection la plus radicale. Travaillant autour de la pensée de Hannah Arendt, elle a également poursuivi, sur la question du politique, des recherches proches, dans leur inspiration et leur perspective, de celles de Merleau-Ponty, de Claude Lefort, de Paul Ricoeur et de Cornelius Castoriadis.
Sa réflexion porte, depuis un certain temps, sur les remaniements conceptuels (notamment autour de la question de la temporalité) qui traversent et renouvellent les divers registres de l’expérience contemporaine. Elle a ainsi publié des ouvrages sur les notions d’« autorité », de « crise » et de « représentation » ainsi que sur les atteintes portées au monde commun et à l’existence démocratique par l’irruption et la diffusion de la notion de « post-vérité ». Sa réflexion sur la démocratie accorde une place décisive aux affects politiques et aux dispositions subjectives que les individus entretiennent à l’égard du mode d’existence démocratique.
Myriam Revanult d’Allonnes est l’auteure notamment de Pourquoi nous n’aimons pas la démocratie (Seuil, 2010), La crise sans fin. Essai sur l’expérience moderne du temps (Seuil, 2012 ; « Points Essais », 2016), Le miroir et la scène. Ce que peut la représentation politique (Seuil, 2016), La politique expliquée à nos enfants (Seuil, 2017), La faiblesse du vrai. Ce que la post vérité fait à notre monde commun (Seuil, 2018 ; à paraître en Points-Essais en octobre 2021 avec une postface inédite) et L’esprit du macronisme. L’art de dévoyer les concepts (Seuil, 2020).
Professeure émérite des Universités à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, elle est également chercheure associée au Cevipof. Elle a enseigné la théorie politique à l’Ecole doctorale de Sciences Po Paris et a été directrice de programme au Collège international de philosphie.
De 2006 à 2013, elle a dirigé la collection de philosophie pour enfants « Choiuette ! Penser » aux éditions Gallimard-Jeunesse.
Myriam Revault d’Allonnes est membre de la commission du Livre blanc sur la politique étrangère et européenne de la France (2008) et du Jury de la Conférence de consensus sur la prévention de la récidive (2012).
Elle préside de 2015 à 2018 la commission philosophie-psychanalyse-sciences religieuses du Centre national des Lettres.
Spécialiste de philosophie éthique et politique, ses recherches ont d’abord porté sur la Terreur de la Révolution française, sur le « mal du politique » et le « caractère intraitable » des passions dont est faite l’assise originaire du lien social. Elle s’est interrogée sur la notion de « banalité du mal » et sur la question du « sens de l’humain » entendu comme capacité d’échanger des expériences, capacité dont l’expérience concentrationnaire nous a notamment donné à voir la défection la plus radicale. Travaillant autour de la pensée de Hannah Arendt, elle a également poursuivi, sur la question du politique, des recherches proches, dans leur inspiration et leur perspective, de celles de Merleau-Ponty, de Claude Lefort, de Paul Ricoeur et de Cornelius Castoriadis.
Sa réflexion porte, depuis un certain temps, sur les remaniements conceptuels (notamment autour de la question de la temporalité) qui traversent et renouvellent les divers registres de l’expérience contemporaine. Elle a ainsi publié des ouvrages sur les notions d’« autorité », de « crise » et de « représentation » ainsi que sur les atteintes portées au monde commun et à l’existence démocratique par l’irruption et la diffusion de la notion de « post-vérité ». Sa réflexion sur la démocratie accorde une place décisive aux affects politiques et aux dispositions subjectives que les individus entretiennent à l’égard du mode d’existence démocratique.
Myriam Revanult d’Allonnes est l’auteure notamment de Pourquoi nous n’aimons pas la démocratie (Seuil, 2010), La crise sans fin. Essai sur l’expérience moderne du temps (Seuil, 2012 ; « Points Essais », 2016), Le miroir et la scène. Ce que peut la représentation politique (Seuil, 2016), La politique expliquée à nos enfants (Seuil, 2017), La faiblesse du vrai. Ce que la post vérité fait à notre monde commun (Seuil, 2018 ; à paraître en Points-Essais en octobre 2021 avec une postface inédite) et L’esprit du macronisme. L’art de dévoyer les concepts (Seuil, 2020).
Il siège également au Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE). Auteur de sept ouvrages dont L’immobilier demain (2017 | 2020) et Souriez, vous êtes filmés (2021), il est chroniqueur pour L’Express et siège au Conseil scientifique de la Fondapol.
Robin Rivaton est ancien conseiller de Bruno Le Maire et de Valérie Pécresse.
Il siège également au Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE). Auteur de sept ouvrages dont L’immobilier demain (2017 | 2020) et Souriez, vous êtes filmés (2021), il est chroniqueur pour L’Express et siège au Conseil scientifique de la Fondapol.
Robin Rivaton est ancien conseiller de Bruno Le Maire et de Valérie Pécresse.
D’octobre 2010 à juillet 2013, il a été directeur général adjoint de l’institut CSA ; de 2008 à 2010, directeur associé de l’institut ISAMA ; de 1998 à 2008, directeur du pôle Opinion de BVA ; de 1992 à 1998, directeur d’études à l’institut Louis Harris et de 1990 à 1991 chargé d’études au Service d’Information du Gouvernement.
Chroniqueur sur Canal Plus (L’Info du Vrai), Jérôme Sainte-Marie intervient régulièrement dans les médias dont notamment France Info (Les informés), C News, le Figaro, Le Figaro Vox, France Culture et Europe 1.
Il est l’auteur de Bloc contre Bloc, la dynamique du macronisme (éditions du Cerf, 2019) Prix des Députés du livre politique 2020 ; Le nouvel ordre démocratique (éditions du Moment, 2015) ; Un fauteuil pour dix (éditions de l’Archipel, 2006) et de Regards croisés sur le Proche-Orient, « Le regard transformé de l’opinion publique française » sous la direction de Michel Derczansky, éditions Yago, 2011).
Il est, par ailleurs, enseignant à l’Institut Catholique de Paris.
D’octobre 2010 à juillet 2013, il a été directeur général adjoint de l’institut CSA ; de 2008 à 2010, directeur associé de l’institut ISAMA ; de 1998 à 2008, directeur du pôle Opinion de BVA ; de 1992 à 1998, directeur d’études à l’institut Louis Harris et de 1990 à 1991 chargé d’études au Service d’Information du Gouvernement.
Chroniqueur sur Canal Plus (L’Info du Vrai), Jérôme Sainte-Marie intervient régulièrement dans les médias dont notamment France Info (Les informés), C News, le Figaro, Le Figaro Vox, France Culture et Europe 1.
Il est l’auteur de Bloc contre Bloc, la dynamique du macronisme (éditions du Cerf, 2019) Prix des Députés du livre politique 2020 ; Le nouvel ordre démocratique (éditions du Moment, 2015) ; Un fauteuil pour dix (éditions de l’Archipel, 2006) et de Regards croisés sur le Proche-Orient, « Le regard transformé de l’opinion publique française » sous la direction de Michel Derczansky, éditions Yago, 2011).
Il est, par ailleurs, enseignant à l’Institut Catholique de Paris.
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